Nadjet DJELLALI , née à Tébessa (Algérie). Elle est issue d’une sphère intellectuelle, fille d’un Imam( paix à son âme !).Habite actuellement à Skikda , très jolie ville côtière de l’est algérien. « Cité du 20 Août » est le poème dédié par l’auteure à Skikda en hommage aux martyrs , s’inspirant d’évènements douloureux de l’époque coloniale! ( La Gageure p.65) Les prémisses de l’écriture ont percé très tôt chez Nadjet DJELLALI. Après avoir enseigné durant une dizaine d’années , elle arrêta pour se consacrer davantage à la plume et à la réflexion. Liseuse acharnée et insatiable, notamment dans le très vaste domaine des sciences humaines, chemin faisant, elle taquine entre autres des ouvrages scientifiques telles que l’astronomie, la géologie…pour assouvir sa curiosité grandissante. En 1979, elle publie un premier recueil de poésie intitulé « A l’ombre d’une Vie » à Paris. Suivi d’un autre livre consacré en partie à la condition de la femme algérienne , c’est un cri de révolte et d’indignée , sous le titre « La Gageure » édité en 1990 en Algérie. 1982, elle adhère localement à l’union des écrivains de la wilaya de Skikda. Femme de lettres très active, elle assiste et participe à des séminaires à l’échelle nationale ou internationale. Sa conférence préférée aborde le thème cher à son cœur : « La Culture en Algérie » une conférence /débat très appréciée par le public. Plusieurs fois récompensée par de symboliques tableaux d’honneur ( unique récompense du pays) .
En 1989, à l’issue d’un congrès qui s’est tenu à Alger, elle devient membre de l’union nationale des écrivains algériens.
L’Auteure a à son actif plusieurs autres écrits en cours de route, à caractère social. « Une histoire banale » sera bientôt prête pour la publication. Son dernier ouvrage est actuellement dans une Maison d’Edition française dont la parution pourrait être située aux environs du premier trimestre de l’année 2007 en France (Voir bibliographie). Tel est le survol de la vie littéraire de Nadjet DJELLALI, pour l’instant…